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Études de cas - Investissement

  • Transactions non autorisées passées au compte de l'investisseur

    À l'occasion d'un séminaire d'investissement, un couple dans la soixantaine a rencontré un conseiller financier. Lors d'une rencontre subséquente, le conseiller a recommandé que le couple emprunte 450 000 $ à des fins d'investissement. Bien que cette recommandation ne les ait pas convaincus, les clients ont quand même signé des documents de prêt. Une semaine plus tard, le conseiller a découvert que le couple ne se qualifiait que pour un prêt de 300 000 $. Il a autorisé le changement au prêt et l'argent a été investi quelques jours plus tard. Lorsqu'ils ont reçu par la poste une attestation de prêt et une confirmation de placement, les clients ont immédiatement téléphoné au conseiller pour lui indiquer qu'ils croyaient n'avoir signé qu'une demande de prêt.

  • Un investisseur fait fi des avertissements de son conseiller

    Un couple dans la quarantaine a déposé 100 000 $ chez un courtier en fonds communs de placement, a obtenu un prêt « 2 pour 1 » et a investi une somme totale de 250 000 $ dans des fonds communs de placement.

  • L'investisseur a tardé à accepter l'offre de règlement de la firme

    Un client, qui avait investi environ 1 000 000 $ dans des CPG et avait également fait plusieurs investissements immobiliers, a rencontré un conseiller. Sur sa demande d'ouverture de compte, il avait indiqué qu'il avait un horizon de placement d'au moins 15 ans et un objectif de croissance équilibrée. Il était bien informé et travaillait dans le secteur de l'investissement immobilier.

  • Appréciation erronée de la tolérance au risque sur formulaire 'KYC'

    Quelques jours après cette rencontre, la cliente a quitté pour la Floride. À son retour cinq mois plus tard, elle a découvert que la valeur de ses placements avait diminué. Elle a téléphoné à son conseiller en placement pour lui exprimer ses préoccupations. Le conseiller lui a rappelé que les placements pouvaient fluctuer à court terme et il lui a recommandé de ne rien vendre.

  • L'investisseur blâme son conseiller de ne pas l'avoir conseillé adéquatement lors de la planification de sa retraite

    Le client a travaillé environ 15 ans dans une entreprise de services publics lorsqu'il a décidé de changer de carrière pour devenir enseignant. Après avoir quitté son emploi, le client a transmis à sa conseillère financière l'état des prestations de son régime de retraite acquis auprès de son ancien employeur. La conseillère lui a recommandé de transférer son régime de retraite à un compte de retraite immobilisé (CRI) et l'a aidé à remplir les documents de transfert.

  • L'investisseur a retardé sa plainte au sujet des transactions discrétionnaires

    La cliente est une investisseuse avertie qui fait affaire depuis peu de temps avec un nouveau conseiller et une nouvelle firme. Elle vise des placements qui rapportent 100 % de gain en capital et sa tolérance au risque est de moyenne à haute. Ses connaissances en matière de placement sont étendues et elle a beaucoup d'expérience dans ce domaine.

  • Frais additionnels pour un REER collectif encourus par un investisseur

    La cliente a acheté un REEE collectif pour chacun de ses deux enfants auprès d'un courtier en régimes de bourses d'études. Après un an, des problèmes dans la gestion des régimes ont commencé. La cliente n'était pas capable d'obtenir d'explications claires en téléphonant aux représentants de la firme. Les problèmes ont persisté et lui ont causé des frais administratifs additionnels. Elle est devenue très mécontente de la firme. Elle s'est plainte à la firme. Insatisfaite de la réponse, elle a porté sa plainte à l'OSBI.

  • Personnes retraitées investissent à l'aide d'un prêt

    Les clients, un couple à la retraite au début de leurs soixante-dix ans, ont été sollicités par un conseiller sur la recommandation d'un ami. Le conseiller leur a recommandé de prendre une marge de crédit domiciliaire de 90 000 $ et d'investir cet argent dans divers fonds communs d'actions. Le couple détenait des économies de retraite de 15 000 $ et avait une connaissance moyenne des placements. Leur revenu provenait de régimes de pension de l'État et de prestations d'un régime de pension d'employeur. Comme ils n'avaient pas un revenu suffisant pour couvrir leurs versements d'intérêt mensuels sur le prêt, le conseiller a établi un programme de retraits périodiques de leur compte de placement.


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