Études de cas - Bancaire
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Des erreurs bancaires lors de l’organisation d’un transfert d’hypothèque entraînent des pénalités coûteuses pour l’emprunteur
Quelques semaines avant la date d’échéance, il rencontre une spécialiste des prêts hypothécaires à la Banque B et décide de transférer son hypothèque à la Banque B lorsqu’elle arrivera à échéance.
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Une consommatrice retraitée ciblée dans une escroquerie par message texte
Chacun de nous est une victime potentielle de fraude et doit prendre des mesures pour se protéger et protéger ses proches. Des fraudeurs ciblent tous les jours les consommateurs avec des escroqueries élaborées qui exploitent des technologies courantes comme les messages textes et les courriels.
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Une personne âgée présentant des signes précoces de démence s’endette de plus de 68 000 $
Les banques ne limiteront pas l’accès d’une personne à son propre argent et à son crédit tant qu’elle ne disposera pas des documents juridiques nécessaires pour transférer le contrôle à quelqu’un d’autre. Il est important pour tout le monde, mais surtout pour les personnes âgées, de prévoir comment leurs finances seront prises en charge si elles ont besoin d’aide.
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Les consommateurs ne sont pas responsables du coût des erreurs administratives
En septembre 2004, M. D est retourné à l’école avec l’intention de terminer ses études d’ici avril 2005. Comme de nombreux étudiants de niveau postsecondaire, M. D avait besoin d’aide pour payer ses études et, en 2004, il a contracté des prêts étudiants fédéraux et provinciaux dans le cadre du Régime d’aide financière aux étudiantes et étudiants de l’Ontario (RAFEO).
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Un consommateur récupère des milliers de dollars perdus lorsque des chèques ont été volés à son domicile et falsifiés
Au début de 2017, M. W est revenu de ses vacances annuelles. Il était toujours diligent dans la vérification de l’activité de son compte. Lorsqu’il a consulté en ligne les dépenses liées à ses vacances, il a remarqué trois transactions d’environ 4 000 $ qui concernaient des chèques qu’il n’avait pas émis.
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Une personne âgée victime d’une escroquerie basée sur un antivirus
En 2017, l'ordinateur de M. R. a gelé. Un avertissement s’est affiché à l'écran, suivi d’un message provenant de ce qui semblait être une entreprise digne de confiance. Le message indiquait à M. R. qu'un virus avait infecté son ordinateur et lui fournissait un numéro à composer. M. R. a téléphoné et parlé à un représentant qui lui a recommandé un logiciel antivirus pour corriger les problèmes. M. R. a accepté d’acheter le logiciel d’une valeur de 400 $.
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Une personne âgée victime de l’arnaque des grandsparents
Une femme âgée, Mme W., a un petit-fils qui habite en Asie. En septembre, Mme W. reçoit un appel téléphonique de son petit-fils, qui enseigne l'anglais en Corée du Sud.Il lui fait part de son intention de déménager en Chine pour continuer à enseigner, et lui demande de l'aider financièrement pour couvrir les frais du déménagement.
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Les comptes conjoints et les procurations créent des conflits familiaux
M. T. avait converti son compte de chèques personnel en compte conjoint assorti de droits de survie avec une amie. À ce moment-là, le solde du compte était de 15 000 $.
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La carte de crédit du client est bloquée parce qu’il refuse de répondre à la question sur sa profession
M. F. est titulaire d’une carte de crédit, et de plusieurs autres produits, auprès de la banque depuis plus de 25 ans. Au début de 2018, il constate qu’il n’a pas reçu son relevé de carte de crédit par la poste. Il appelle la banque pour s’informer sur le relevé manquant.
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La banque est responsable de corriger les problèmes découlant de ses propres erreurs administratives
Au début de 2016, M. et Mme J ont constaté que leur banque n’avait pas programmé leurs paiements hypothécaires de façon régulière à partir de leur compte. Le couple avait assidument payé son hypothèque au cours des cinq dernières années. Lorsqu’il a constaté l'écart, il a immédiatement communiqué avec la banque afin de résoudre le problème.